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Publié le Mardi 28 Mai 2013
La transmission des virus de la grippe H7N9 étudiée à travers un modèle animal
- Une équipe internationale de scientifiques a prouvé que le virus H7N9 influenza est transmis de manière efficace lorsque les animaux sont en contact étroit - définie dans l'étude comme le toucher, la toux et l'échange de fluides corporels.
" Cette étude a été conçue pour nous donner des indices sur la transmission de H7N9 qui a touché certains humains en Chine ", a déclaré David Kelvin, PhD, chercheur principal à l'Institut de recherche général de Toronto et professeur à l'Université de Toronto.
"Les animaux utilisés dans l'étude avaient des symptômes cliniques très légers en raison de leur exposition au virus et il était clair que le contact très étroit a été nécessaire pour la transmission. Il semble aussi que le virus sous sa forme actuelle ne se transmet pas très bien à travers l'air. "
- L'étude a été menée en Chine à l'Université de Shantou avec l'aide de Kelvin et le Dr Michael Roehrl, un pathologiste à l'University Health Network, cette étude a commencé parce que, dès le 1er mai, plus de 125 cas humains en chine ont été touché par le virus et la majorité de ces personnes sont hospitalisées et beaucoup souffrent de détresse respiratoire aiguë.
- Plus de 75% de ces personnes avaient été soit en contacte ou exposer aux volailles avant de tomber malade. Les furets et les porcs ont été utilisés dans l'étude et la transmission chez les furets eu lieu lorsque les animaux partagés les même cages et eu un contact direct les uns avec les autres, mais le risque était réduit si les cages étaient bien espacés, c’est ce qui a démontré que la transmission aérienne de H7N9 n'est pas un risque élevé dans ce modèle animal.
" Cette étude, a démontré que le contact étroit est nécessaire pour la transmission et que les travailleurs de la santé sont à risque de transmission car ils sont en contact étroit avec les personnes ", a déclaré Kelvin.
"Il a également démontré que la transmission aéroportée était très difficile dans les modèles animaux, ce qui est susceptible d'être le cas chez les humains aussi."
