La grève des paramédicaux, déclenchée mardi 1er février, a été suivie à plus de 87 %, selon le syndicat. L’appel à la grève lancé par le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) pour réclamer la promulgation de leur statut particulier a été « fortement » suivi dans de nombreuses structures sanitaires sur l’ensemble du territoire national, a déclaré à TSA, le président du SAP, Lounès Ghachi. « Jusqu’à maintenant, on a enregistré un taux de suivi de 87,52% à l’échelle nationale. Dans la capitale, il est presque de 100% », assure-t-il.
La grève a paralysé de nombreuses structures publiques de santé, a-t-on constaté. « Pour un statut de dignité. Les paramédicaux en grève », pouvait-on lire sur pancarte dans une polyclinique à Belcourt. Dans les hôpitaux, dans les centres de santé et les polycliniques, le personnel paramédical assure un service minimum. Le SAP réclame également la « réintégration des paramédicaux radiés à cause de leurs activités syndicales », a ajouté M. Ghachi. Après cette grève de deux jours, une autre grève « illimitée sera entamée le 8 février prochain si le ministère de la Santé continue d’ignorer nos revendications », a-t-il averti.
La grève a paralysé de nombreuses structures publiques de santé, a-t-on constaté. « Pour un statut de dignité. Les paramédicaux en grève », pouvait-on lire sur pancarte dans une polyclinique à Belcourt. Dans les hôpitaux, dans les centres de santé et les polycliniques, le personnel paramédical assure un service minimum. Le SAP réclame également la « réintégration des paramédicaux radiés à cause de leurs activités syndicales », a ajouté M. Ghachi. Après cette grève de deux jours, une autre grève « illimitée sera entamée le 8 février prochain si le ministère de la Santé continue d’ignorer nos revendications », a-t-il averti.